Touché par une flèche, un orignal échappe à son assaillant et se cache dans le fond des bois pour mourir. Pendant les jours, les mois qui vont suivre, sa carcasse se décomposera peu à peu, par le fait d’une faune variée qui vient chacun son tour grignoter un petit morceau pour survivre.
Pari risqué mais relevé du réalisateur québécois Robert Morin selon André-Pier Bérubé.